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Vous n'êtes pas identifié.
Evidemment que Microsoft collabore avec la NSA, évidemment qu'il y a des backdoors.
Mais, apparemment le gouvernement français n'est pas vraiment dérangé, BIEN AU CONTRAIRE !
Ce gouvernement SOCIALISTE a lâché début juin le logiciel libre. Il a fait modifier le texte pourtant passé au Sénat en première lecture, ainsi qu' à la commission des Affaires culturelles de l'Assemblée nationale qui demandait "en priorité des logiciels libres et des formats ouverts de documents". C'est devenu "les projets tiennent compte de l'offre de logiciels libres et de documents au format ouvert, si elle existe".
Le ministre de l'Éducation nationale Vincent Peillon se justifie dans l'exposé des motifs en invoquant les "difficultés juridiques" qu'aurait posées une telle mise en avant du libre et des formats ouverts.
Ils sont aux ordres des mammouths du logiciel commercial made in USA.
Le géant du Net a averti deux ex-contributeurs de WikiLeaks qu’il a ouvert leurs boîtes Gmail aux espions américains
Le scandale du programme de surveillance Prism ferait-il souffler un vent de transparence chez les géants du Net, pris en flagrant délit de flicage téléguidé depuis Washington?
Google (GOOG 872.4801 0.72%) a avoué mardi 25 juin avoir transmis au gouvernement américain les informations personnelles de deux anciens contributeurs islandais de WikiLeaks. Les deux intéressés, Smari McCarthy, hacker et programmateur, et Herbert Snorrason, journaliste, réagissent avec philosophie. «Heureusement, aucun de nous n’a utilisé Gmail pour des communications même un chouïa sensibles», écrivent-ils dans une déclaration commune.
Peur eux, les documents que leur a transmis Google «sont la preuve qu’il est nécessaire d’éliminer l’Etat fouineur dans son entier, avant que la démocratie ne soit perdue pour de bon».
Question d'image?
La réputation de Google est entachée par les révélations d’Edward Snowden sur le programme d’espionnage Prism. Le géant joue-t-il la carte de la transparence pour tenter de redorer son blason, comme l’analyse ZDNet? Depuis mai, la firme de Mountain View peut, si elle le souhaite, communiquer à ses utilisateurs s’ils sont la cible d’une demande de surveillance du gouvernement américain.
Dans ce contexte, dire que l’on a été obligé de dénoncer deux activistes de WikiLeaks sur mandat de Washington n’est pas anodin.
Hors ligne
J'ai modifié le titre du fil en rajoutant devant : Affaire Snowden, car la plupart des posts font référence à cet aspect précis.
Berlin demande à Londres des explications sur son programme d'espionnage "Tempora"
Berlin, correspondant. Les Allemands qui n'avaient déjà pas apprécié Prism, le programme d'espionnage mis en place par l'administration américaine, se méfient également beaucoup de "Tempora", son équivalent britannique et le font savoir.
Vendredi 21 juin, le Guardian avait révélé, sur la foi de documents encore une fois dévoilés par l'Américain Edward Snowden, dont la présence à Moscou a été confirmée lundi par le président russe Vladimir Poutine, que les services de renseignements britanniques avaient accès aux câbles transatlantiques à fibres optiques par lesquels transitent les communications téléphoniques et Internet. Grâce à des accords secrets passés avec les entreprises qui exploitent ces câbles, les services secrets de Sa Majesté partagent les données avec leurs homologues américains.
Selon le journal, cette opération baptisée "Tempora", qui aurait commencé il y a dix-huit mois, permet aux services britanniques de stocker les données durant trente jours. Alors que la presse allemande multiplie les articles sur le sujet, le gouvernement d'Angela Merkel s'est à son tour fait entendre. Mardi 25 juin, la ministre de la justice, Sabine Leutheusser-Schnarrenberger (FDP, parti libéral), a officiellement demandé des explications à son homologue Christopher Grayling et à la ministre de l'intérieur, Theresa May, et a implicitement critiqué le culte du secret du gouvernement Cameron.
"MÉTHODES DE LA STASI"
Lors de sa visite à Berlin, les 18 et 19 juin, le président Barack Obama avait pu constater que les écoutes opérées dans le cadre de Prism étaient un sujet particulièrement sensible en Allemagne. Le président de la République, Joachim Gauck, la chancelière, Angela Merkel, et le candidat du SPD à la chancellerie, Peer Steinbrück, ont tous évoqué le sujet.
La protection de la vie privée est un sujet sensible en Allemagne où, depuis le nazisme et le communisme, on se méfie particulièrement de l'Etat. "Ce sont des méthodes de la Stasi à la manière américaine", avait résumé l'eurodéputé allemand Markus Ferber, membre de la CSU bavaroise (droite), en faisant référence à la police politique de l'ancienne Allemagne de l'Est. Sabine Leutheusser-Schnarrenberger, avait évoqué un "délire de stockage".
Il est vrai que selon le Guardian, l'Allemagne est l'un des pays dont les communications sont les plus surveillées par l'administration américaine. Les responsables rappellent que les attentats du 11 septembre 2001 ont été en partie préparés en Allemagne par une cellule basée à Hambourg. Début juin, en présentant son rapport d'activité 2012, le chef des services de renseignements, Hans-Georg Maassen, notait une "forte croissance de l'islamisme" et évaluait à un millier le nombre d'islamistes dangereux.
CRITIQUES INAPPROPRIÉES
Mais les critiques à l'égard de Prism ne reflètent qu'une partie des opinions exprimées dans le pays. Le ministre de l'intérieur, Hans-Peter Friedrich (CSU) défend, lui, la politique américaine. "Tous ceux qui sont chargés de la sécurité des citoyens en Allemagne et en Europe savent que ce sont les services secrets américains qui nous ont toujours donné des indications importantes et précises", a-t-il dit.
Pour lui, les critiques de sa collègue de la justice à l'égard des Etats-Unis sont inappropriées. Tant en raison de la présence d'islamistes dangereux en Allemagne que des liens diplomatiques et politiques entre les Etats-Unis et l'Allemagne, il est vraisemblable que leurs services de sécurité collaborent davantage qu'ils ne l'admettent.
D'ailleurs, les services secrets allemands écoutent également les communications de leurs concitoyens. Selon le rapport transmis au Bundestag en mars et qui porte sur 2011, les services secrets étaient, cette année-là, à l'affût de 1 450 mots liés au terrorisme au premier semestre et à la recherche de 1 660 au second. Ceux-ci ont figuré dans 329 628 "communications" dont 136 ont paru "pertinentes" aux services secrets. Par ailleurs, 2 544 936 courriels ont été interceptés parce qu'ils contenaient notamment des termes relatifs à du matériel de défense. Sur ce nombre, 56 courriels sont apparus là aussi "pertinents".
Enfin, le Spiegel avait révélé, dimanche 16 juin, que les services secrets avaient obtenu une enveloppe de 100 millions d'euros et l'embauche de 100 spécialistes sur cinq ans pour développer la surveillance d'Internet.
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Et Paris là-dedans? Hollande petit valet de l'impérialisme anglo-saxon?
Ah qu'il est plaisant de lire ce genre de nouvelle et le ton employé par les équatoriens. Ensuite je ne me fais pas d'illusion trop optimiste sur cette bagarre diplomatique. Et çà sent d'ailleurs à terme le cancer foudroyant pour Correa.
Affaire Snowden: L'Equateur renonce à son accord douanier avec les Etats-Unis
QUITO - L'Equateur a annoncé jeudi renoncer à son accord douanier avec les Etats-Unis qui lui valait des tarifs préférentiels, dénonçant cet accord comme un instrument de chantage au moment où Quito étudie la demande d'asile de l'informaticien Edward Snowden, recherché pour espionnage par Washington.
L'Equateur renonce de manière unilatérale et irrévocable à ces préférences douanières, selon une déclaration du gouvernement, lue par le ministre équatorien de la Communication Fernando Alvarado.
L'Equateur n'accepte ni des pressions ni des menaces de personne. Et il ne marchande pas avec les principes, il ne les soumet pas à des intérêts mercantiles, aussi importants qu'ils soient, ajoute le texte.
Les Etats-Unis ont signé un accord douanier de ce type avec plusieurs pays andins leur offrant des tarifs préférentiels en contrepartie de leur engagement à combattre le trafic de drogue dans cette région.
Selon la déclaration des autorités de Quito, ces tarifs ont été à l'origine accordés comme une compensation aux pays andins pour leur lutte contre les trafics de drogue, mais ils sont devenus rapidement un nouvel instrument de chantage.
Cette mise au point intervient alors que l'Equateur étudie la demande d'asile de l'ancien consultant de l'Agence nationale de sécurité (NSA), à l'origine de la révélation d'un vaste programme de surveillance téléphonique et électronique, et qui se trouve actuellement retranché à l'aéroport de Moscou.
La présidence équatorienne a précisé, sur son site internet, que des pressions explicites et implicites avaient été exercées par les Etats-Unis à propos de l'examen de la demande d'asile d'Edward Snowden, ainsi que sur l'asile accordé à Julian Assange, le fondateur du site WikiLeaks, autre bête noire de Washington, réfugié depuis un an à l'ambassade d'Equateur à Londres.
Nous aurions été enchantés que, de la même manière qu'on exige avec urgence de livrer M. Snowden au cas où il foulerait le sol équatorien (...), on en fasse de même avec les fugitifs de la justice équatorienne réfugiés aux Etats-Unis, affirme encore le gouvernement dans sa déclaration.
(©AFP / 27 juin 2013 15h55)
http://www.romandie.com/news/n/_Affaire … 31558.asp?
Le directeur de la CIA veut en finir avec les fuites. John Brennan va lancer une campagne pour «réinculquer à ses troupes la culture du secret»
http://www.lefigaro.fr/international/20 … fuites.php
Fil humour ?
https://maps.google.com/maps?hl=fr& … =12,304.06
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Supedro a écrit:
Le directeur de la CIA veut en finir avec les fuites. John Brennan va lancer une campagne pour «réinculquer à ses troupes la culture du secret»
http://www.lefigaro.fr/international/20 … fuites.php
800 000 employés dans l'appareil sécuritaire... Bonne chance mon gars!
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Vivement des machines à Intelligence Artificielle pour remplacer les analystes. Ah, zut, on oublie les admin système (ce qu'était Snowden).
Curieusement, il ne me semble pas que cela avait été mentionné sur ce topique : Edward Snowden a accusé la NSA d'avoir mené des actions de piratage de grande envergure en Chine. Ce qui donne plus de poids aux accusations émises récemment par les autorités chinoises envers les USA, en réaction aux allégations en vogue chez ces derniers incriminant les chinois pour des attaques informatiques.
http://www.lesaffaires.com/monde/chine/ … c7O5JzFlBA
[…...]
Conformément à ses promesses, le flot des révélations de M. Snowden n'a pas tari depuis le 5 juin, date des premiers articles fracassants du Guardian et du Washington Post sur la collecte par l'Agence nationale de sécurité (NSA) de données téléphoniques aux Etats-Unis et des communications d'étrangers sur internet.
Le South China Morning Post a révélé samedi que la NSA interceptait "des millions de SMS" envoyés sur les réseaux mobiles chinois.
"La NSA fait des tas de choses comme pirater des compagnies de téléphones portables chinoises pour voler tous vos SMS", a affirmé M. Snowden au journal lors d'une interview le 12 juin.
Selon lui, la NSA a aussi piraté en 2009 les serveurs de Pacnet, une entreprise basée à Hong Kong et qui gère l'un des réseaux de fibre optique les plus étendus de la région. Les attaques auraient cessé.
Quelques heures plus tard, le même quotidien publiait un article décrivant le piratage par la NSA de la prestigieuse université Tsinghua à Pékin, le plus récemment sur 63 ordinateurs et serveurs en janvier.
[…...]
Dernière modification par Analis (29-06-2013 14:52:21)
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L'info fait le tour depuis que le Spiegel l'a révélée, sur la base des documents confidentiels fournis par Snowden.L'U.E. était la cible d'une écoute généralisée; le QG de la NSA, une partie des bâtiments de l'OTAN, dont la délégation européenne était aussi écoutée. Grandiose.
Barroso et ses commissaires, base dormante d'Al Quaëda !
N'oubliez pas que la NSA se justifie par la lutte anti-terroriste.
La réalité est beaucoup plus sinistre et beaucoup plus simple. La NSA est un des bras armés du complexe militaro-industriel, elle sert à espionner la planète, mais aussi et surtout elle tient les politiques (membres du Congrès, Sénateurs, Présidents qui ne font pas partie du lobby ...). Elle les tient tous, comme la mafia tient les membres homosexuels de la Curie Romaine.
Il y a des politiques qui font partie du complexe : Dick Cheney est l'exemple parfait.
Il y a les marionnettes : Barack Obama en est le parfait exemple.
<begin humor section>
Une liste possible de mots-clés (la liste date de 1998, alors ici c'est sans doute la rubrique humour )
En tout cas, je crois que je vais en faire ma signature sur mes courriels. Si tout le monde utilisait des mots clés, au moins ces abrutis de la NSA justifieraient leurs salaires élevés par une charge de travail en rapport.
http://attrition.org/misc/keywords.html
Waihopai, INFOSEC, Information Security, Information Warfare, IW, IS, Priavacy, Information Terrorism, Terrorism Defensive Information, Defense Information Warfare, Offensive Information, Offensive Information Warfare, National Information Infrastructure, InfoSec, Reno, Compsec, Computer Terrorism, Firewalls, Secure Internet Connections, ISS, Passwords, DefCon V, Hackers, Encryption, Espionage, USDOJ, NSA, CIA, S/Key, SSL, FBI, Secert Service, USSS, Defcon, Military, White House, Undercover, NCCS, Mayfly, PGP, PEM, RSA, Perl-RSA, MSNBC, bet, AOL, AOL TOS, CIS, CBOT, AIMSX, STARLAN, 3B2, BITNET, COSMOS, DATTA, E911, FCIC, HTCIA, IACIS, UT/RUS, JANET, JICC, ReMOB, LEETAC, UTU, VNET, BRLO, BZ, CANSLO, CBNRC, CIDA, JAVA, Active X, Compsec 97, LLC, DERA, Mavricks, Meta-hackers, ^?, Steve Case, Tools, Telex, Military Intelligence, Scully, Flame, Infowar, Bubba, Freeh, Archives, Sundevil, jack, Investigation, ISACA, NCSA, spook words, Verisign, Secure, ASIO, Lebed, ICE, NRO, Lexis-Nexis, NSCT, SCIF, FLiR, Lacrosse, Flashbangs, HRT, DIA, USCOI, CID, BOP, FINCEN, FLETC, NIJ, ACC, AFSPC, BMDO, NAVWAN, NRL, RL, NAVWCWPNS, NSWC, USAFA, AHPCRC, ARPA, LABLINK, USACIL, USCG, NRC, ~, CDC, DOE, FMS, HPCC, NTIS, SEL, USCODE, CISE, SIRC, CIM, ISN, DJC, SGC, UNCPCJ, CFC, DREO, CDA, DRA, SHAPE, SACLANT, BECCA, DCJFTF, HALO, HAHO, FKS, 868, GCHQ, DITSA, SORT, AMEMB, NSG, HIC, EDI, SAS, SBS, UDT, GOE, DOE, GEO, Masuda, Forte, AT, GIGN, Exon Shell, CQB, CONUS, CTU, RCMP, GRU, SASR, GSG-9, 22nd SAS, GEOS, EADA, BBE, STEP, Echelon, Dictionary, MD2, MD4, MDA, MYK, 747,777, 767, MI5, 737, MI6, 757, Kh-11, Shayet-13, SADMS, Spetznaz, Recce, 707, CIO, NOCS, Halcon, Duress, RAID, Psyops, grom, D-11, SERT, VIP, ARC, S.E.T. 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J'espère qu'à présent, nos amis de la NSA vont enfin s'occuper de nous. Un peu de publicité ne nuit pas
<end humor section>
Dernière modification par Frenchie (30-06-2013 09:00:30)
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Ils sont quand même bien barrés ces ricains
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Chut, à Bruxelles, tu es écoutée
De pire en pire. Nos politiciens européens font mine d'être étonnés par l'espionnage de la NSA, et pourtant ... nos gouvernements collaborent.
L'article du Guardian a été enlevé de leur site, mais il sera sur la version papier, et des copies d'écran ont été faites.
Lisez et réveillez-vous !
Dernière modification par Frenchie (30-06-2013 17:28:32)
ça tu dis ?
La commissaire européenne à la Justice Viviane Reding remet en cause l'accord de libre-échange transatlantique suite aux allégations d’espionnage de l’UE par les Etats-Unis. Paris et Berlin demandent aussi des comptes à Washington.
«Entre partenaires, on n’espionne pas! On ne peut pas négocier sur un grand marché transatlantique s’il y a le moindre doute que nos partenaires ciblent des écoutes vers les bureaux des négociateurs européens», a déclaré lors d’une rencontre avec des citoyens au Luxembourg la commissaire européenne.
La France a également «demandé dimanche des explications aux autorités américaines»sur les allégations d’espionnage des institutions européennes par Washington, révélées par la presse allemande, a déclaré le chef de la diplomatie française Laurent Fabius.
Des faits «inacceptables»
«La France a demandé aujourd’hui des explications aux autorités américaines au sujet des informations dévoilées par l’hebdomadaire allemand Der Spiegel selon lesquelles la National Security Agency (NSA) aurait espionné les institutions de l’Union européenne», a indiqué M. Fabius dans un communiqué. «Ces faits, s’ils étaient confirmés, seraient tout à fait inacceptables », a-t-il ajouté.
«Nous attendons des autorités américaines qu’elles lèvent dans les plus brefs délais les inquiétudes légitimes suscitées par les révélations de la presse», poursuit le ministre.
Cette demande de Paris a été transmise par l’ambassade de France à Washington à la Maison Blanche et au Département d’Etat, a-t-on précisé de source diplomatique française.
L’Allemagne, cible No.1
L’Union européenne et l’Allemagne ont déjà réclamé des explications à Washington, à la suite de nouvelles allégations, attribuées au fugitif américain Edward Snowden, selon lesquelles Washington a espionné les bureaux de l’UE à Bruxelles et la mission diplomatique de l’UE à Washington.
La délégation de l’UE auprès des Nations unies a fait l’objet d’une surveillance similaire, écrit aussi Der Spiegel.
Plusieurs personnalités politiques françaises ont vivement réagi aux révélations du Spiegel.
Réactions inquiètes
Harlem Désir, premier secrétaire du PS, a déclaré que «s’il était confirmé que les USA ont espionné les institutions européennes, ce serait inacceptable». «Ca montre que l’Europe ne doit pas être naïve sur ses relations» avec Washington, a-t-il dit sur Radio J.
Dans un communiqué, le député Jean-Christophe Cambadélis, secrétaire national du PS en charge de l’Europe et de l’international, est allé plus loin en estimant que si les révélations s’avéraient exactes, «alors il faudrait a minima suspendre les négociations du traité de libre échange transatlantique».
L’eurodéputée et ancienne ministre Rachida Dati, vice-présidente de l’UMP, a également réagi par communiqué en soulignant que si les informations étaient exactes, elles menaceraient «le lien de confiance indispensable qui existait jusqu’à maintenant entre l’Europe et les États-Unis».
Pour sa part la présidente sortante du patronat français, Laurence Parisot, a jugé «très grave» ces révélations. «J’attends de l’Union européenne une réaction forte, sans pour autant évidemment casser toutes les relations, y compris la préparation de la négociation d’un nouveau traité de libre échange entre l’Europe et les Etats-Unis», a-t-elle dit sur Europe 1.
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Ou ils sont idiots ou ils jouent la comédie. Deuxième hypothèse la plus probable. Lire mon post précédent; la coopération avec les Etats-Unis s'étend au delà du traditionnel axe Londres-Washington. C'est un peu comme les vols "secrets" de la CIA. Aboiements d'hypocrites. Seule Parisot joue dans son registre, car bien sûr c'est l''espionnage économique auquel elle pense.
C'est dingue, on dirait que pour eux c'et nouveau !
Les Européens ont exigé des explications sur le programme d'espionnage américain, qui aurait visé les institutions de l'UE et des millions de citoyens européens.
Face au déluge de documents communiqués via l'ancien consultant américain de la NSA, Edward Snowden, au cœur d'un imbroglio mondial digne des meilleurs romans d'espionnage, Bruxelles a averti même de possibles conséquences sur la négociation d'une zone de libre-échange transatlantique. «Entre partenaires, on n'espionne pas!», a lancé dimanche au Luxembourg la commissaire européenne à la Justice, Viviane Reding. «On ne peut pas négocier sur un grand marché transatlantique s'il y a le moindre doute que nos partenaires ciblent des écoutes vers les bureaux des négociateurs européens», a-t-elle estimé, en réclamant que les États-Unis «dissipent ces doutes très rapidement».
La Direction nationale du renseignement américain (ODNI), qui chapeaute les 17 agences de renseignement du pays dont la NSA, a indiqué dans un communiqué que les États-Unis «répondront de façon appropriée» à l'UE et à ses États membres par les canaux diplomatiques. De son côté, le commissaire européen au Commerce, Karel De Gucht, a jugé sur une chaîne de télévision belge que l'affaire serait «très grave» si ces allégations étaient confirmées. «Clarté, vérité et transparence: c'est ce qu'on peut et doit attendre de nos amis et alliés. Les explications américaines sont nécessaires et urgentes», a affirmé sur son compte Twitter le commissaire français, Michel Barnier. Les trois commissaires réagissaient aux révélations de l'hebdomadaire allemand Der Spiegel, qui a assuré dimanche que Prism, le programme d'espionnage de l'Agence nationale de sécurité (NSA) américaine, avait visé les institutions de l'Union européenne. Le Spiegel fonde ses accusations sur des documents confidentiels dont il a pu avoir connaissance grâce à Snowden, qui a sollicité l'asile politique en Equateur et est bloqué depuis une semaine à l'aéroport de Moscou, son passeport ayant été annulé par les Etats-Unis qui réclament son extradition pour espionnage.
«Guerre froide»
La France a elle aussi demandé des explications «dans les plus brefs délais». «Ces faits, s'ils étaient confirmés, seraient tout à fait inacceptables», a déclaré le chef de sa diplomatie, Laurent Fabius. La ministre française de la Justice, Christiane Taubira, est allée plus loin, en estimant que si Washington avait bel et bien mené les opérations d'espionnage décrites par le Spiegel, ce serait «un acte d'hostilité inqualifiable». Pour son homologue allemande Sabine Leutheusser-Schnarrenberger, qui a elle aussi réclamé des explications «immédiatement et en détail, ce n'est pas sans rappeler des actions entre ennemis pendant la Guerre froide».
Selon le «Spiegel», le programme était constitué non seulement de micros installés dans le bâtiment de l'UE à Washington, mais aussi d'une infiltration du réseau informatique qui lui permettait de lire les courriers électroniques et les documents internes. La représentation de l'UE à l'ONU était surveillée de la même manière, toujours selon ces documents, dans lesquels les Européens sont explicitement désignés comme des «cibles à attaquer». Et les dernières révélations du Spiegel dimanche risquent d'enflammer l'opinion allemande, très sensible sur les questions de protection de vie privée. L'Allemagne est en effet «le pays européen le plus surveillé» par la NSA, avec 500 millions de connexions téléphoniques et Internet enregistrées mensuellement, assure le magazine, qui explique qu'une journée «normale» d'espionnage concerne environ 15 millions d'appels téléphoniques recensés en Allemagne, contre environ deux millions quotidiennement en France.
L'Allemagne et la France moins fiable que la Grande-Bretagne
L'Allemagne, comme la France, sont considérées par la NSA comme moins fiables que le Canada, la Grande-Bretagne, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, explique aussi Der Spiegel se fondant sur ces documents. Selon le Guardian, l'opération de surveillance de la représentation française à l'ONU a été baptisée «Blackfoot» et celle visant l'ambassade de France à Washington «Wabash». L'ambassade d'Italie à Washington a été visée par une opération dont le nom de code était «Bruneau».
Les Européens sont pourtant «parmi les alliés les plus proches» des Etats-Unis, a assuré dimanche le conseiller adjoint à la Sécurité nationale, Ben Rhodes. Interrogée par l'AFP, la porte-parole du Département d'État américain, Marie Harf, s'est refusée à tout commentaire. Le président du Parlement européen, Martin Schulz, a évoqué un possible «immense scandale», et le député européen écologiste Daniel Conh-Bendit a appelé à une rupture immédiate des négociations sur le traité de libre-échange transatlantique, qui viennent d'être lancées, tant qu'un accord n'a pas été signé avec les États-Unis sur la protection des données personnelles. Des négociations en ce sens, lancées en 2011, n'ont toujours pas abouti.
Après les premières révélations sur Prism, la Commission européenne avait assuré que Washington avait accepté d'informer les Européens. Mais la promesse ne semble pas avoir été tenue, Bruxelles ayant à nouveau réclamé le 19 juin des réponses «aussi rapidement que possible». Toujours selon le Spiegel, la NSA avait même étendu ses opérations jusqu'à Bruxelles il y a «plus de cinq ans». En 2003, l'UE avait effectivement confirmé la découverte d'un système d'écoutes téléphoniques des bureaux de plusieurs pays - dont la France, l'Allemagne, l'Espagne, le Royaume-Uni, l'Autriche et l'Italie - au siège du Conseil de l'Union européenne. Il est difficile de savoir s'il s'agit de la même affaire, l'enquête de la justice belge n'ayant débouché sur rien.
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Assange affirme que l'arrestation de Snowden n'arrêtera pas les révélations. (interview à partir de 2 mn 10).
Admettons qu'il soit arrêté, il risque bien de recevoir les même traitement que Sibel Edmonds ?
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Honnêtement c'est un énorme baton qui tombe très opportunément dans les roues du marché translatique. Mais qui l'a lancé ?
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A force de voir des complots à l'intérieur des complots, certains passent à côté de l'essentiel.
La seule question qui vaille : "Qui était au courant à l'intérieur de l'U.E. ?"
En tout cas, en Allemagne, certains pensent que Merckel savait.
Le président du Parti social-démocrate allemand soupçonne la chancelière Angela Merkel d'avoir été au courant "au moins sur le fond" du programme d'espionnage de l'UE par les Etats-Unis.
"La réaction de la chancelière laisse soupçonner qu'elle était au moins sur le fond au courant de la surveillance", assure Sigmar Gabriel dans le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung à paraître mardi. Le dirigeant de la principale formation d'opposition exige maintenant d'Angela Merkel qu'elle "dise si elle était au courant et si elle a toléré cela".
En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/ … ycMdKDh.99
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/ … 62661.html
Quand à la France, nous verrons au pied du mur si Hollande et ses copains ne sont que des fantoches de Washington. Offriront-ils l'asile à Snowden?
(personnellement, cela m'étonnerait beaucoup).
Le clown en chef :
Nous savons bien qu'il y a des systèmes qui doivent contrôler, notamment pour la lutte contre le terrorisme mais je ne pense pas que ce soit dans nos ambassades ou dans l'Union européenne que ce risque existe.
François Hollande
La réaction de Kerry :
"Je dirai que chaque pays dans le monde qui est impliqué dans les affaires internationales, de sécurité nationale, exerce de nombreuses activités afin de protéger sa sécurité nationale et toutes sortes d'informations qui peuvent y contribuer. Tout ce que je sais, c'est que cela n'est pas inhabituel pour un grand nombre de pays".
Dernière modification par Frenchie (01-07-2013 17:15:51)
Kerry à raison. c'est pas nouveau, et c'est prêt de changer ! la réaction hollande est énorme. soit il est idiot, soit il a rien compris...
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Le Washington Post a publié de nouveaux documents ce week-end, qui laissent entendre que la NSA disposerait de ses propres serveurs, avec interfaçage direct avec certaines fonctions de Google, Hotmail, Yahoo, Facebook, etc.
On y découvre, non seulement (ce qu'on savait déjà) que la NSA peut accéder aux e-mails, photos, vidéos, conversations téléphoniques, etc., mais aussi qu'elle dispose de notifications en temps réel. Sur le graphique du dessus, nous voyons que chaque donnée interceptée est classée notamment selon sa source (Microsoft, Yahoo, Google, Facebook, YouTube, Skype, Apple, etc.), et le type de données. Or, pour les types de données, le document indique entre autres :
RTN-EDC (notifications en temps réel d'un évènement d'e-mail tel qu'un login ou un message envoyé)
RTN-IM (notification en temps réel d'une login de chat, ou un événement de logout)
Ainsi, la NSA recevrait directement certaines informations lorsque l'une de ses "cibles" se connecte sur un serveur de messagerie pour collecter ses messages, ou se connecte et se déconnecte de Skype. Selon le document, l'interception serait réalisée grâce à des serveurs installés directement chez les fournisseurs de services.
Au 5 avril, 117.675 "cibles" étaient activement surveillées par le programme PRISM, officiellement pour des enquêtes anti-terroristes.
Source : http://www.numerama.com/magazine/26405- … ebook.html
Vous savez ce qui vous reste à faire :
- Fermer vos comptes GMail, Facebook.
- Oublier Skype (le cryptage était peau de boudin pour la NSA qui a accès direct). Utiliser Pidgin par exemple.
- Utiliser Duck duck Go pour vos recherches, oublier Google et Bing.
Frenchie a écrit:
Vous savez ce qui vous reste à faire :
- Fermer vos comptes GMail, Facebook.
- Oublier Skype (le cryptage était peau de boudin pour la NSA qui a accès direct). Utiliser Pidgin par exemple.
- Utiliser Duck duck Go pour vos recherches, oublier Google et Bing.
Qu'est-ce que tu nous proposes à la place !
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Redford a écrit:
Honnêtement c'est un énorme baton qui tombe très opportunément dans les roues du marché translatique. Mais qui l'a lancé ?
C'est marrant cette histoire de Snowden bloqué à l'aéroport de Moscou, je n'y ai pas cru une seconde... c'est un bâton qui pourrait nous venir de la place rouge par exemple ! Ce pavé dans la mare aux canards arrange bien les russes à mon avis, avec un petit coup des pouce de Pékin qui à laissé subrepticement s'envoler le fugitif sous le nez des ricains, pour qu'il puisse atterrir directement dans les bras des dirigeants du Kremlin...
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Ce qui est catastrophique dans tout cela, c'est l'aspect économique de l'histoire, car finalement, on le sait très bien, les ricains n'en ont rien à péter de la traque aux terroristes, puisque malgré leurs bins dignes de Big Brother et leur arsenal d'espionnage ultra high tech, il n'ont jamais réussi à empêcher réellement un attentat sur leur sol ! Ce qui les intéressent c'est les secrets technologiques, l’espionnage industriel au profit des multinationales...
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mariflo a écrit:
Qu'est-ce que tu nous proposes à la place !
Tu plaisantes? Tous les moyens sont là, à une exception près, la VOIP :
1) Depuis des années, je n'utilise plus Windows
2) J'utilise le service gratuit de DropBox pour stocker "dans le nuage" des données non sensibles. Tout ce qui est sensible est crypté avec RealCrypt.
3) Lorsque je ne souhaite pas que l'on voie ce que je fais, j'utilise Tor, depuis des années.
4) Lorsque je suis sur Google, JE SAIS que je suis espionné, au moins commercialement. Alors, pour mes recherches, j'utilise Duck duck Go ou alors Bing à travers Tor.
5) Pour le mail, c'est une question de non volonté des gens. J'ai ma clé publique PGP depuis 1997, sur les serveurs publics. Je ne l'utilise plus. Pourquoi? Parce que n'ai pas réussi, malgré plusieurs années de militantisme (1997-2002) à convaincre quiconque.
6) J'ai un profil Facebook peu renseigné, minimaliste.
7) Pour Skype, là c'est plus délicat. Les logiciels utilisant le protocole SIP existent (téléphonie VOIP, mais pas de confidentialité). Skype est crypté, sauf que, source non publié, donc BackDoor pour la NSA.
Pour la fonction chat, TorChat. Pour la voix, je ne sais pas, vu que tout le monde utilise Skype
PS : je ne veux pas être désagréable, mais je pense qu'ici il y a trop de gens qui voient des complots à l'intérieur des complots. Soros a financé Wikileaks, Snowden est un agent des russes, des chinois ou des petits martiens etc... etc...
Dernière modification par Frenchie (01-07-2013 20:59:06)
Snowden arrange tellement les Russes (dixit lolaweb) qu'il demande l'asile à 21 pays.
Question : Parmi ces 21 pays, défenseurs des droits de l'homme sur le papier, y en a-t-il un qui a le courage/les moyens de résister à Washington? Pas sûr ! Gardons espoir.
La lettre ouverte de Snowden
Wikileaks.org
July 1, 2013
One week ago I left Hong Kong after it became clear that my freedom and safety were under threat for revealing the truth. My continued liberty has been owed to the efforts of friends new and old, family, and others who I have never met and probably never will. I trusted them with my life and they returned that trust with a faith in me for which I will always be thankful.
On Thursday, President Obama declared before the world that he would not permit any diplomatic “wheeling and dealing” over my case. Yet now it is being reported that after promising not to do so, the President ordered his Vice President to pressure the leaders of nations from which I have requested protection to deny my asylum petitions.
This kind of deception from a world leader is not justice, and neither is the extralegal penalty of exile. These are the old, bad tools of political aggression. Their purpose is to frighten, not me, but those who would come after me.
For decades the United States of America has been one of the strongest defenders of the human right to seek asylum. Sadly, this right, laid out and voted for by the U.S. in Article 14 of the Universal Declaration of Human Rights, is now being rejected by the current government of my country. The Obama administration has now adopted the strategy of using citizenship as a weapon. Although I am convicted of nothing, it has unilaterally revoked my passport, leaving me a stateless person. Without any judicial order, the administration now seeks to stop me exercising a basic right. A right that belongs to everybody. The right to seek asylum.
In the end the Obama administration is not afraid of whistleblowers like me, Bradley Manning or Thomas Drake. We are stateless, imprisoned, or powerless. No, the Obama administration is afraid of you. It is afraid of an informed, angry public demanding the constitutional government it was promised — and it should be.
I am unbowed in my convictions and impressed at the efforts taken by so many.
Edward Joseph Snowden
Monday 1st July 2013
Dernière modification par Frenchie (02-07-2013 08:03:16)
Lol, il a pas bien compris lui.
Edward Snowden demanderait l'asile à 21 pays, dont la France
http://tempsreel.nouvelobs.com/topnews/ … rance.html
Sur un air de Coluche à l'accent québécois :
"Viens, j'lui ai dis viens... "
Dernière modification par GTO (02-07-2013 09:00:13)
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lolaweb a écrit:
Ce qui est catastrophique dans tout cela, c'est l'aspect économique de l'histoire, car finalement, on le sait très bien, les ricains n'en ont rien à péter de la traque aux terroristes, puisque malgré leurs bins dignes de Big Brother et leur arsenal d'espionnage ultra high tech, il n'ont jamais réussi à empêcher réellement un attentat sur leur sol ! Ce qui les intéressent c'est les secrets technologiques, l’espionnage industriel au profit des multinationales...
Au passage, cet aspect là n'a rien de nouveau et dans les grosses boites fr comme Dassault, Areva, Alcatel etc les nouveaux embauchés sont tout de suites formés à des choses comme échelon. Au passage, on en parle jamais, mais la France a son propre réseau d'antennes espionnes, qui grace aux relicats de l'empire colonnial couvre tout de même une sacrée superficie - bien en dessous d'Echelon, mais bien au dessus de la quasi intégralité des autres pays du globe. Système jugé au demeurant vieillissant, l'enjeu étant effectivement plus les cables optiques. Dans ces grandes boites, les mails ne sont évidemment pas stockés chez google, on ne peut d'ailleurs pas aller sur le net directement, bref ils ont des experts en sécurité à peu près raisonnables et apparemment plus affutés que ceux de l'Elysée. Ensuite les nouveaux se voient exposés un historique des derniers grands contrats, tel commercial se faisant voler son laptop débouchant sur la perte d'un march à 300 milllions etc.
Mais je crois qu'il ne faut pas tout mélanger: la sécurité de l 'état emploie 800 mille personnes aux USA - un chiffre incroyablement élevé que ne peut pas nécessiter la seule intelligence économique (d'autant que les boites ont en sus leur propre personnel là dessus). Il y a bien un réflexe de surveillance de la population, une immense défiance vis à vis de celle ci à l'oeuvre. Les élites US semblent attendre l'insurrection.
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Les élites US semblent attendre l'insurrection.
Car ils savent leur système à bout de souffle. Ils se préparent à toutes les éventualités. C'est pour cela qu'ils sont les élites.
James Bamford, auteur américain expert de la National Security Agency, n'a aucun doute: l'agence a espionné aussi bien l'Union européenne que les banques suisses
James Bamford résume le scandale des écoutes révélé par Edward Snowden à une partie de poker: «Washington veut savoir quelles sont les autres cartes des joueurs». Auteur de plusieurs livres, cet auteur américain est aussi un spécialiste de la National Security Agency (NSA), accusée d'avoir mené des activités d'espionnage dans des pays alliés.
Il s'agissait moins d'empêcher des actes de terrorisme que de défendre les intérêts économiques. «Les USA veulent renforcer leur position dans les négociations actuelles», comme il l'a expliqué dans un entretien téléphonique avec le Tages-Anzeiger.
Les Etats-Unis et l'Union Européenne (UE) devaient démarrer lundi 1er juillet des négociations de libre-échange à Washington. Mais la commissaire Viviane Reding juge la discussion impossible avec un pays «qui espionne les bureaux de nos négociateurs».
Qui se souvient d'Echelon?
Ce genre de pratique ne surprend pas James Bamford. «La NSA a pris depuis des années l'habitude d'écouter», rappelle-t-il, précisant que les Américains placent sous écoute tous les participants lors de conférences internationales.
Seuls quatre pays, tous anglo-saxons, ont échappé aux filets de la NSA et même collaboré activement: la Grande-Bretagne, le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, qualifiés d'amis proches. «Ce qui nous ramène à la Seconde Guerre mondiale», juge Bamford, «lorsque les USA avec ces quatre Etats luttaient contre le Japon et l'Allemagne.»
La collaboration s'est même renforcée entre ces pays, considérés comme les «cinq paires d'yeux». Ces Etats participent au traité UKUSA qui a été signé en secret peu après la fin de la guerre et qui a permis de mettre sur pied le réseau Echelon dont l'existence a été révélée à la fin des années 90. Ce réseau était déjà chargé d'intercepter les communications, par satellites notamment.
La Suisse en première ligne
Viennent ensuite les pays membres de l'OTAN ou encore l'Allemagne et la France, des Etats placés sous surveillance de la NSA comme le montre une note secrète de l'agence publiée par le journal allemand Spiegel : «Nous pouvons intercepter les signaux de la plupart des pays de ce groupe et nous le faisons». Les communications entre ces Etats sont exploitées «surtout en cas de conflit», ajoute Bamford.
Où se situe la Suisse? Le chroniqueur estime qu'elle fait l'objet d'une surveillance poussée «La Suisse fait partie du premier cercle des cibles en raison des banques.» Leurs activités, et surtout leurs transactions, sont suivies de très près par les agences américaines. «Chaque fois que quelqu'un communique avec une banque suisse, la NSA l'apprend, surtout si la communication n'est pas chiffrée.» Ce qui est le cas la plupart du temps. En outre, la NSA dispose de l'expérience suffisante pour «très bien craquer les codes».
Un budget annuel de dix milliards de dollars
L'attention de la NSA s'est déplacée des satellites aux réseaux de fibre optique. «Qui y a accès en apprend le plus», explique Bamford mais l'effort est colossal. Selon le New Yorker , le budget annuel de la NSA avoisine les dix milliards de dollars et l'agence emploie envion 40' 000 personnes.
Ces connaissances amènent James Bamford à se montrer prudent, d'autant qu'il écrit depuis 1982 sur la NSA, «l'agence la plus grosse et la plus dangereuse du monde». Lorsqu'il communique avec ses sources, il évite tout contact téléphonique. «Jamais de la vie. Je les rencontre toujours personnellement.» (Newsnet)
http://www.24heures.ch/monde/ameriques/ … y/11044766
La France, l’Italie et la Grèce figuraient parmi les 38 «cibles» surveillées par l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA), selon les documents communiqués au Guardian par l’ancien espion Edward Snowden.
L’un des documents de la NSA révèle que les activités d’espionnage électronique de l’agence prenaient pour cibles les ambassades à Washington et les représentations de ces pays à l’ONU, a rapporté dimanche le quotidien britannique The Guardian sur son site Internet.
Des tentatives d’écoute ont visé les ambassades de France, d’Italie et de Grèce à Washington. Le Japon, le Mexique, la Corée du Sud, l’Inde et la Turquie ont également été cités parmi les cibles d’opérations de surveillance électronique dans un document datant de 2010.
L'UE sous écoute
L’hebdomadaire allemand Der Spiegel avait affirmé auparavant samedi, en se fondant sur des documents fournis par Edward Snowden, que la NSA, accusée d’espionner les communications électroniques mondiales dans le cadre du programme Prism, avait pris pour cible les bureaux de l’Union européenne à Bruxelles et la mission diplomatique de l’UE à Washington.
La délégation de l’UE auprès des Nations unies a fait l’objet d’une surveillance similaire, selon Der Spiegel.
Réseau informatique infiltré
Il s’agissait non seulement de micros installés dans le bâtiment, mais aussi d’une infiltration du réseau informatique qui permettait de lire les courriers électroniques et les documents internes. Selon les documents confidentiels cités par le magazine allemand, les Européens sont explicitement désignés comme des «cibles à attaquer».
Selon les documents consultés par le Guardian, l’opération ayant pris pour cible l’UE aurait eu pour objectif d’en savoir plus sur les dissensions entre les pays membres de l’UE.
Opération «Blackfoot»
L’opération de surveillance de la représentation française à l’ONU a été baptisée «Blackfoot» et celle visant l’ambassade de France à Washington «Wabash». L’ambassade d’Italie à Washington a été visée par une opération dont le nom de code était «Bruneau».
L’Union européenne, la France et l’Allemagne ont exigé dimanche des explications sur ces allégations d’espionnage à l’encontre de l’UE. (afp/Newsnet)
http://www.24heures.ch/monde/europe/La- … y/16105947
Dernière modification par florian (02-07-2013 15:10:20)
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Les agences de renseignement anglo-saxonnes ont mis sur pied toute une série d'outils afin d'espionner les pays. Dans la panoplie américaine se trouve un sous-marin nucléaire capable de mettre sous écoute la fibre optique sous-marine.
Aucun moyen de communication ne semble à l'abri des oreilles de la National Security Agency (NSA). Les satellites ont très vite fait l'objet d'une surveillance avec le programme Echelon mais la fibre optique sous-marine n'échappe pas non plus à leur surveillance.
Bien entendu, les liaisons transatlantiques font déjà l'objet d'une surveillance des deux côtés de l'Océan, tant de la part des Américains que des Britanniques. Mais les Etats-Unis ont également mis au point un sous-marin nucléaire spécial capable d'intercepter des communications dans des zones plus sensibles.
Unique en son genre
Washington dispose de l'USS Jimmy Carter qui, outre son armement classique, a été aménagé au début des années 2000 pour opérer des écoutes électroniques. Moyennant quand même une enveloppe de 400 millions de dollars et un allongement de 33 mètres.
Lors de son entrée en service en février 2005, le sous-marin aura finalement coûté près d'un milliard de dollars. Il peut désormais intercepter les fibres optiques sous-marines.
Capable de faire sortir des plongeurs
Pour cet objectif, ce sous-marin possède trois trappes sous sa coque qui est construite en deux épaisseurs séparées de plusieurs mètres, capables de s’ouvrir à grande profondeur. Il peut aussi emporter une capsule contenant six hommes, de type sous-marin de poche, et d'un système permettant aux plongeurs équipés de tenues de très grande profondeur de sortir et de revenir une fois leur mission accomplie.
Un enjeu stratégique considérable quand on sait que désormais, près de 90% du trafic internet s'opère par câble contre 10% par satellites. Mais le sous-marin suscite bien des fantasmes, se voyant accuser chaque fois qu'un câble sous-marin est coupé.
(Newsnet)
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La liste des pays qui refusent l'asile à Snowden :
- le Brésil, la Norvège, l'Inde et la Pologne, officiellement
L'Inde, par exemple : ""Nous avons attentivement examiné la demande. Après examen, nous avons conclu qu'il n'y a aucune raison d'accéder à la demande", a déclaré un porte-parole du ministère indien des Affaires étrangères, Syed Akbaruddin.
- L'Autriche, la Finlande, les Pays-Bas, l'Espagne et l'Islande ne considèrent même pas la demande de Snowden
- La Russie, apparemment idem, bien qu'il ne soit pas clairement établi que Snowden ait fait une demande d'asile.
- L'Equateur la rend impossible (se rendre dans une ambassade et l'ambassadeur qui a délivré un sauf-conduit pour sortir de Hong Kong a été désavoué par le Président Correa. Pire, le Président dit que la Russie n'a qu'à le garder. Lâcheté! ! !
Photo d'un lâche
Photo d'un lâche, qui ne désire pas finir mal !!!
Discours d'un lâche
"Nous ne nous éloignerons jamais (des enjeux) qui concernent l'humanité, nous ne fuirons jamais nos responsabilités. Si M. Snowden arrive en territoire équatorien et dépose une demande d'asile, nous devrons l'instruire et nous le ferons en toute souveraineté"
Le seul qui aurait pu l'accueillir, c'était Chavez, il est mort !
Ils ont tous peur des Etats-Unis. Ceux qui croyaient les Etats-Unis finis en sont pour leurs frais. Ils ont tous peur.
Dernière modification par Frenchie (02-07-2013 18:56:34)
De nouvelles révélations de Snowden vont être publiées bientôt.
Le Kremlin a de son côté indiqué qu'Edward Snowden avait retiré sa demande d'asile en Russie en raison des conditions posées par Moscou. Vladimir Poutine avait en effet déclaré la veille que l'informaticien, coincé depuis le 23 juin dans la zone de transit de l'aéroport Moscou-Cheremetievo, pouvait rester dans le pays à condition qu'il cesse "ses activités visant à faire du tort" aux Américains.
http://www.romandie.com/news/n/Affaire_ … 132100.asp
Nouveau pays qui refuse : l'Allemagne.
Le ministre allemand de l'Intérieur, Hans-Peter Friedrich, avait déjà indiqué que, techniquement, une personne ne pouvait demander l'asile que dans le pays où elle se trouvait. Il avait souligné ne pas pouvoir imaginer qu'une demande d'asile pour des raisons humanitaires soit prise en compte dans le cas d'Edward Snowden, les Etats-Unis étant un pays démocratique.
Ben voyons ! Obama en est à son 9ème whistleblower pourchassé, le but ultime étant de décourager de futurs Snowden. En tout cas, l'aigle américain pourrit sur pied, car les fuites continuent.
Dernière modification par Frenchie (02-07-2013 21:23:33)